O messager de Dieu, si bon dans ta rudesse, Sois béni, toi qui m'as ouvert le ciel! Ma chair saigne, et mon âme est pleine d'allégresse, Un air léger baigne mon front brûlant. Plus fraîche que l'eau de la source, Plus douce qu'un rayon de miel, Ta pensée est en moi suave et salutaire et mon esprit, Dégagé de la terre plane déjà dans cette immensité! Très vénéré père, sois béni!